Catégorie - Conte
Un album original, à la fois tendre et amusant, pour s'adonner à l'amplification et travailler l'intertextualité.
Rencontre avec Philippe Moyano et Wafa Messaoudi au sujet d'un dispositif innovant mené dans des classes de première année du Collège Sainte-Véronique.
La mise en voix d'un conte de manière convaincante et expressive exige de comprendre les enjeux du récit, de distinguer les personnages, leur rôle, etc., en somme d'accéder à une lecture approfondie et à une compréhension fine du texte. Voici un dispositif qui devrait permettre de rencontrer ces objectifs.
Pépite de la bande dessinée au Salon du livre de Montreuil 2019, prix de l'album jeunesse 2020 à Angoulême et une mention à la Foire de Bologne 2020 : cet album BD multiprimé fourmille de péripéties vécues par la jeune héroïne, Jo.
Présentation d'un dispositif autour du personnage du loup intégrant l'utilisation de marionnettes.
Dans le cadre de « La langue française en fête », une exposition est proposée autour de l'album de Loïc GAUME, « Contes au carré ».
Les récits picturaux, dont les livres accordéons de Warja LAVATER – véritables objets d’art – et les albums jeunesse de la série « raconte à ta façon… » sont de dignes représentants, s’avèrent être des matériaux didactiquement riches. Constitués uniquement de formes s’apparentant à des pictogrammes, ces supports particuliers et créatifs permettent d’aborder le genre du conte et la structure narrative de manière ludique et originale. Ils se prêtent à de multiples exploitations en classe de français.
Célia LÉONARD, étudiante en BLOC 2, a utilisé l'album " Contes au carré " lors de son dernier stage. Elle nous relate son expérience et nous présente les activités qu'elle a menées.
La présentation synthétique d’œuvres littéraires ou culturelles appartenant au patrimoine commun sous la forme de brèves planches de BD permet une exploration et une exploitation variée au service de compétences multiples, telles que la lecture, l’écriture, la démarche du résumé, la sensibilisation aux structures narratives ou encore à la polysémie du texte et de l’image. Quelques exemples à partir des œuvres de Loïc GAUME et Henrik LANGE.
Comment exploiter les contes en classe ? Proposition des différentes pistes de travail et de jeux de société.
L'article propose une analyse approfondie de ce conte initiatique qui prend la forme d'un album / d'une bande dessinée / d'un roman graphique qui bouscule les codes habituels et permet un intéressant travail d'interprétation.
Analyse de l'album "Le Petit Poucet" de Thisou DARTOIS, Rouergue, 2015.
Analyse de l'album "Le caillou" de Thierry Dedieu, Seuil Jeunesse, 2016
"Les Oiseaux"Gwendal LE BEC, Albin Michel Jeunesse, 2011
Enseigner l'oral, c'est apprendre aux élèves à être efficaces lorsqu'ils communiquent oralement, en utilisant à bon escient la voix et le corps. Mais c'est aussi leur permettre de s'exprimer en jouant de toutes les ressources de la voix et du corps pour « toucher » l'autre. L'oral, c'est donc aussi le lieu de la sensibilité, de la nuance, qui relève bien plus du domaine de l'artistique et du plaisir gratuit que de l'efficacité.
Dire un texte à voix haute est une compétence que doivent acquérir les étudiants que nous formons à une profession pédagogique13. En effet, l’enseignant devra notamment, par une bonne lecture à voix haute des textes qu’il propose, en rendre le sens plus accessible aux élèves. Autres bénéfices, non négligeables, d’une telle pratique : tous les élèves découvrent le texte au même rythme et prennent du plaisir à écouter un texte bien dit.
Google est-il vraiment notre ami ? Séquence de recherches critiques de contes du pourquoi sur Internet et liste des stratégies de lecture complexe.
Le kamishibaï, petit théâtre d’images d’origine japonaise, comme outil pédagogique : présentation d’un dispositif mis en place dans le cadre du T.F.E.
Un concours pour écrire des contes du pourquoi. Rapide analyse réflexive d’un dispositif qui semble aller de soi...
Présentation d’un dispositif de lecture en réseau mené à la manière du « World Café » avec des étudiants de 3e année du régendat français
L’article propose une séquence intégrant des activités relatives aux anaphores qui visent à apprendre à mieux lire (des contes dans ce cas-ci).
Les atouts du kamishibaï, petit théâtre d’images ambulant, pour développer les compétences écrire, lire, parler et écouter sont analysés.
Un site qui fournit de nombreux contes téléchargeables.
Une analyse des atouts des « Contes à l’encre de la nuit » de Thomas OWEN est suivie par la proposition d’une séquence qui allie lecture et écriture d’un récit « réalise-magique ».
Proposition d’une activité d’écriture de contes du pourquoi donnant lieu à un concours entre les élèves et exemples de contes écrits par les étudiants.
Au terme d’une séquence sur la fable, les élèves sont naturellement invités à prendre la plume et à faire travailler leur imagination. Les étudiants de 1re année du régendat en français ont vécu une telle séquence et ont écrit des fables.
Travailler conjointement la lecture et la rédaction de contes du pourquoi pour prendre gout à l’écriture.
Des activités multiples autour d’une même thématique, permettant de travailler des compétences et des genres variés.
Quelques idées autour de différents genres textuels pour allier écriture et créativité.
Trois contes du pourquoi écrits par des étudiants sont publiés dans cet article. Ils ont obtenu les meilleurs scores d’après leurs condisciples qui ont employé une grille d’évaluation critériée : celle-ci est annexée à cet article.
F’murr, « Au loup ! », Dargaud, 1993, réédition de Pepperland 1979
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