Lire un poème et écouter une chanson qui en est une adaptation

Cet article présente une activité qui permet aux élèves de découvrir un poème du patrimoine littéraire français et une des chansons actuelles qui consistent en une transposition de ce dernier.

Dans le cadre d'un stage, une étudiante, Lisa Di Gennaro, m'a signalé l'existence de chansons (des groupes Les frangines et Gargäntua) qui sont, toutes les deux, une adaptation du célèbre poème de Victor Hugo, Demain, dès l'aube. Elle a eu l'occasion de mener une activité portant sur cette œuvre dans une classe. Dans le cadre d'un cours de didactique, ce poème avait déjà été exploité précédemment : l'activité de lecture à dévoilement progressif de ce texte poétique a pu, cette fois-ci, être associée à l'écoute d'une chanson. Cet article présente des pratiques menées avec des élèves de l'enseignement secondaire et avec des étudiants qui se destinent à devenir professeurs de français. 

Lecture du poème Demain, dès l'aube de Victor Hugo

La méthodologie choisie pour la lecture de ce poème par les étudiants, futurs enseignants, consiste en une lecture à dévoilement progressif. 

• Le texte leur est transmis par le professeur par fragments. 
• Un relevé des données du texte à propos du ou des personnage(s) et du cadre spatiotemporel (que les élèves peuvent tenter de se représenter mentalement), du contenu de l'extrait lu (un résumé de celui-ci pour vérifier la compréhension de son sens global) est réalisé par chacun, puis mis en commun. 
• Des hypothèses sur la suite de chaque fragment lu sont formulées individuellement, puis présentées au groupe et justifiées à partir de données du texte. Avant la lecture du dernier fragment, les participants sont invités à formuler brièvement ou à rédiger la fin du texte telle qu'ils l'imaginent, à socialiser leur production et à expliquer leur choix à partir d'éléments des fragments lus précédemment. 

Un autre choix didactique pour faire découvrir ce poème aux élèves serait de leur faire écouter ce texte lu : https://www.audible.fr/pd/Les-contemplations-Livre-Audio

PREMIÈRE STROPHE

En cette période de la Toussaint notamment, les enseignants pourraient aborder certains thèmes qui peuvent être délicats à envisager, mais qui font partie des épreuves auxquels chacun sera, un jour, malheureusement, confronté : la mort, le deuil, la douleur lors de la perte d'un proche. Ce poème écrit en 1856, Demain, dès l'aube, extrait du recueil Les contemplations, pourrait être choisi dans ce cadre. Il évoque la douleur des parents lors du décès d'un de leurs enfants. Cependant, il ne s'agit de l'hypothèse que le lecteur peut formuler spontanément sur la suite de la première strophe lue : 

Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne, 
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends.
J’irai par la forêt, j’irai par la montagne. 
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Après avoir lu cette première strophe (où le narrateur s'adresse à son destinataire en le tutoyant, ce qui donne à penser au lecteur que ce dernier est vivant), les hypothèses des étudiants (qu'ils ont justifiées à partir d'éléments du poème) ont été diverses et variées. Par exemple, le narrateur qui parle à la première personne du singulier est peut-être en train de : 

• entamer une relation amoureuse et se préparer à rejoindre la personne aimée le lendemain (justification en lien avec la strophe lue : je sais que tu m'attends, je ne puis rester loin de toi plus longtemps) ;
• réaliser le projet de partir skier avec quelqu'un (justification en lien avec la strophe lue : à l'heure où blanchit la campagne, j'irai par la forêt, j'irai par la montagne) ;
• se préparer à rejoindre la personne aimée dans la mort : le texte pourrait être, selon plusieurs participants, un remake de l'histoire de Tristan et Iseult (justification en lien avec la strophe lue : je partirai qui peut être compris dans le sens de je vais mourir selon un étudiant, ce qui a été confirmé par le dictionnaire Robert ; je sais que tu m'attends qui aurait le sens tu m'attends pour mon dernier voyage ; je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps qui peut être compris dans le sens Je vais te rejoindre dans la mort selon ce même étudiant).

Les étudiants qui ont pensé à cette hypothèse, à ce lien intertextuel, pourraient faire découvrir ce récit légendaire dont les personnages principaux sont Tristan et Iseult¹.

                                                                                                                                                                                                                                                 ²

DEUXIÈME STROPHE

La deuxième strophe du poème de Victor Hugo est la suivante : 

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, 
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, 
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

La description du narrateur dans cette deuxième strophe (son indifférence à ce qui l'entoure, sa solitude, sa tristesse, sa posture non verbale : le dos courbé, les mains croisées qui montre un repli sur soi-même) a amené les participants à l'activité à formuler plusieurs hypothèses :

• Le narrateur semble dans une attitude pieuse, de recueillement (justification en lien avec la strophe lue : les yeux fixés sur mes pensées, sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, le dos courbé, les mains croisées).
• Il a eu un parcours de vie désastreux (il est seul, inconnu et triste) qui l'amène à penser au suicide, à avoir des idées noires (justification en lien avec la strophe lue : le jour pour moi sera comme la nuit).
• La personne désignée par la deuxième personne du singulier est une personnification de la liberté à laquelle rêve un prisonnier qui attend sa libération (justification en lien avec la première strophe lue : je sais que tu m'attends, je ne puis rester loin de toi plus longtemps  à comprendre ici dans le sens ma liberté m'attend à ma sortie de prison, ma liberté est ce que je souhaite le plus ; justification en lien avec la deuxième strophe lue : le prisonnier imagine comment sa sortie de prison va se dérouler, seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées).
• Le narrateur va à l'enterrement d'une personne dont il était proche, par exemple une personne de sa famille, il est obsédé par la pensée de ce décès et ne semble plus être en contact avec la réalité (justification en lien avec la strophe lue : les yeux fixés sur mes pensées, sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, le dos courbé, les mains croisées, triste, et le jour pour moi sera comme la nuit).

TROISIÈME STROPHE

Les étudiants ont ensuite lu la troisième strophe du poème de Victor Hugo.

Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, 
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

Cette troisième strophe (où il est question de Harfleur, port situé en Normandie, entre Le Havre et Villequier, d’où part le poète) permet aux lecteurs de comprendre où se rend le narrateur : sur la tombe d'une personne sur laquelle il a prévu de déposer un bouquet de fleurs. 

Une note en bas de page d'un ouvrage où ce poème a été publié apprend au lecteur qu'une des douleurs liées à l’exil, pour Victor Hugo, est de lui interdire de se rendre chaque année sur la tombe de sa fille, décédée accidentellement.³

⁴

La question suivante pourrait faire l'objet d'une réflexion en classe avec les élèves sur une pratique culturelle : pourquoi déposer des fleurs sur la tombe d'un défunt, orner une sépulture ou, plus largement, entretenir un monument funéraire ? Les réponses seront sans doute diverses : il peut s'agir d'un signe d'affection, d'hommage pour la personne décédée à qui les vivants pensent toujours, comme cela est le cas dans le cas du narrateur dans le poème lu. Elle constitue parfois la manifestation du respect ou de l'admiration pour la vie des défunts, dans les cimetières de soldats décédés par exemple. C'est également une pratique qui fait partie du processus de deuil, qui peut être menée à tout moment, mais la Toussaint est souvent une période où de nombreuses personnes se rendent sur la tombe de proches décédés. Elle pourrait également faire l'objet de recherches sur les divers rites funéraires selon les cultures et les époques, en interdisciplinarité avec les cours d'éveil historique et de géographique (par exemple, s'informer sur les tumulus observables en Wallonie, les dolmens visibles en Bretagne notamment,...), avec ceux de religion ou, même, de FLE. En effet, les pratiques culturelles liées au décès et spécifiques à la culture de différents apprenants composant la classe pourraient faire l'objet de recherches et de discussions. 

Dans le cadre du cours de français, ce poème Demain, dès l'aube pourrait aussi être le point de départ d'activités (d'écriture ou de prise de parole) sur l'expression des émotions, sur le vocabulaire en lien avec celles-ci, par exemple. La lecture de ce poème est également l'occasion de faire découvrir aux élèves Victor Hugo (1802-1885) ou d'en apprendre plus sur ce romancier, poète et homme de théâtre qui occupe une place centrale dans la littérature du dix-deuxième siècle. Lors de la lecture à dévoilement progressif de ce texte, le contexte de son écriture a fait l'objet de recherches. Ci-après, le résultat de celles-ci proposé dans l'ouvrage suivant : Anthologie de la poésie française. 100 poèmes du Moyen Âge à nos jours⁶.

Léopoldine Hugo est la fille aînée de Victor Hugo. En septembre 1843, elle part sur la Seine avec son époux, Charles Vacquerie, pour se rendre chez le notaire. Sur le trajet du retour, un vent violent se lève soudain et fait chavirer le canot. Léopoldine coule. Charles tente de la sauver, mais sans succès. Le couple se noie. Léopoldine avait 19 ans. Victor Hugo, très proche de sa fille, ne se remit jamais de la mort de son enfant. 

                                                                                              ^{Victor Hugo (Paul Nadar, archives photographiques)5}

Ce poème, qui semble accessible pour de jeunes adolescents puisqu'il fait notamment partie d'une anthologie destinée aux élèves du collège en France⁶, pourrait également être l'occasion d'aborder avec les élèves certaines figures de style. Elles sont particulièrement présentes dans les textes poétiques, dans les chansons, notamment celles observables dans la troisième strophe (métaphore et métonymie) : l'or du soir qui tombe, les voiles au loin descendant vers Harfleur.

Écoute de la chanson qui est une adaptation du poème de Victor Hugo

Pour diversifier les supports permettant de faire découvrir la poésie aux élèves, il est intéressant de faire écouter une chanson qui est une adaptation d'un poème. Cette activité est l'occasion d'enrichir le bagage culturel des élèves puisqu'il s'agit d'un texte de Victor Hugo et d'une chanson du groupe Les frangines qui n'est peut-être pas connu des élèves. Quelques éléments biographiques sur ces deux chanteuses et guitaristes françaises, Anne Coste et Jacinthe Madelin, sont consultables ci-dessous : ils sont extraits du site du groupe. Vous pouvez en apprendre plus sur ce duo sur plusieurs sites : https://www.cheriefm.fr/artistes/les-f..., https://www.lepoint.fr/pop-culture/mai...

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L'écoute de la chanson peut être menée simultanément à la découverte progressive des strophes du poème de Victor Hugo étant donné que les paroles sont très proches du texte ou postérieurement à la lecture de ce dernier. Par contre, il est préférable de réaliser la vision du clip après la lecture et l'analyse du poème étant donné qu'il s'agit de deux femmes qui chantent en parlant d'un narrateur qui s'exprime à la première personne du singulier, mais qui n'est ni l'une ni l'autre. Cette version actuelle du poème peut motiver les élèves à s'intéresser à ce texte du dix-neuvième siècle qui évoque un sujet intemporel : la douleur lors de la perte d'un membre de sa famille.   
 

Analyse des activités

La lecture à dévoilement progressif est une activité évoquée par Jean-Louis Dufays, Louis Gemenne et Dominique Ledur dans leur ouvrage intitulé Pour une lecture littéraire. Histoire, théories, pistes pour la classe (aux pages 204 et 205).⁸  

Les séquences proposées ci-dessous visent donc à amener les élèves à :
- se représenter mentalement l'univers du récit ;
- repérer les indices et les lier afin de construire le(s) sens du texte, pointer les éléments qui résisteraient à l'intégration dans un tout cohérent ;
- circuler dans un texte et effectuer des retours en arrière, notamment pour mettre un nouvel indice à l'épreuve du contexte, inférer (rendre explicite ce qui est implicite), émettre des hypothèses sur la suite ou le genre d'un récit ;
- mobiliser des connaissances antérieures pour comprendre un texte neuf ;
- reconnaitre des stéréotypes, clés de l'interprétation d'un texte ;
- passer du sens anecdotique au(x) sens second(s) ou conférer une valeur symbolique à une intrigue.

Acquérir, développer les compétences énoncées, renverser, modifier peu à peu les habitudes de lecture déjà anciennes supposent, nous semble-t-il, l'exploitation d'un corpus particulier. Certains types de textes se prêtent mieux que d'autres à des recherches d'hypothèses : c'st le cas des récits fantastiques, dans  lesquels le lecteur est constamment amené à s'interroger sur la nature (réelle ou surnaturelle) des référents qui lui sont présentés, mais c'est encore plus celui des récits d'énigme, qui reposent tout entiers sur la recherche du scénario le mieux à même d'expliquer un mystère initial C'est pourquoi, dans le parcours ci-après, nous avons retenu des textes-pièges, dont la chute préparée par des indices qui jalonnent le texte remet en cause la lecture initiale (par exemple, « Le dormeur du val » de Rimbaud) ou dont le mystère ne peut être élucidé qu'en mobilisant certaines connaissances, qu'en identifiant certains stéréotypes. 

Les propositions d'exploitation de ces textes ont largement recours à la technique de la lecture par dévoilement progressif (le texte n'est soumis aux élèves que par morceaux). Une telle démarche permet d'avancer pas à pas, de comprendre ce qui s'est passé à un niveau local, de convoquer des références culturelles, de s'entendre sur une compréhension provisoire mais non saturée. Par ailleurs, cette méthode est aussi stimulante et ludique car elle renforce le suspense du texte et permet des questions prospectives : imaginer la suite du récit, émettre des hypothèses génériques, exprimer ses horizons d'attente, repérer les lieux du texte qui résistent, fût-ce momentanément, autant de pistes qui éveillent la curiosité et donnent envie de connaitre la suite.  

Différentes règles à respecter et à faire respecter pour rendre cette méthode réellement efficace sont consultables dans leur ouvrage.

Lire un texte par dévoilement progressif est également une proposition d'activité de Séverine De Croix et Dominique Ledur dans leur ouvrage intitulé Enjeux de lecture - Lectures en JEux. Comprendre et accompagner les élèves en difficulté. Premier degré différencié et deuxième degré de qualification⁹. Elles y présentent le choix d'un texte (une nouvelle d'Augustin Fernandez Paz, Le cas de l'étrange employé, extraite du recueil intitulé Le livre des petites annonces publié par La joie de lire, en 2001, à Genève), la préparation du découpage du texte, le déroulement de l'activité et un retour réflexif sur celle-ci. Par ailleurs, elles suggèrent d'autres supports possibles pour réaliser des lectures à dévoilement progressif en classe.

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L'activité d'écoute et d'exploitation d'une chanson qui adapte un poème pourrait être menée dans le cadre d'une séquence portant sur l'UAA5, S'inscrire dans une œuvre culturelle, du programme de français du deuxième degré de l'enseignement général et technique de transition (FESeC, 2018) et de celui des deuxième et troisième degrés de l'enseignement professionnel et technique de qualification (FESeC, 2014). En effet, les productions dans le cadre de cette UAA peuvent exploiter le procédé de transposition en changeant le langage de l'œuvre source (dans ce cas-ci, un texte écrit est transposé en un texte oralisé accompagné d'un support musical).  

En résumé, ces activités de lecture à dévoilement progressif d'un texte et d'écoute d'une chanson qui en est une transposition peuvent rendre les apprenants réellement actifs dans leurs démarches de réception de productions. Elles peuvent les motiver à lire un texte (de la poésie dans ce cas-ci) en étant amenés à formuler des hypothèses sur la suite des fragments fournis un par un et à les justifier en faisant référence à des éléments de ceux-ci. Elles suscitent des discussions parfois passionnées à propos de la pertinence de chaque suggestion ainsi que le souhait de lire la suite des fragments. Elles permettent également d'aborder la poésie (dans ce cas-ci, un texte du dix-neuvième siècle) en lien avec une chanson contemporaine qui peut susciter l'intérêt de certains élèves. Par ailleurs, le thème abordé dans cette œuvre est intemporel, il peut toucher des lecteurs ou des auditeurs à toute époque.

Activité menée par Lisa Di Gennaro dans une classe de l'enseignement secondaire

Durant mon stage du mois d’avril de l’année dernière, j’ai pu mener une activité sur la chanson Demain, dès l'aube du groupe Gargäntua (qui est présenté sur le site : https://gargantua-music.com/). L’écoute de ce morceau s’inscrivait dans le cadre d’une séquence sur la poésie et les figures de style. Cette chanson reprend les paroles du poème Demain, dès l'aube de Victor Hugo. 

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Pour réaliser l’activité avec mes élèves, j’ai commencé par découper la chanson en quatre parties et je les ai dévoilées petit à petit aux élèves. Je leur demandais d’analyser le sens des vers qu’ils lisaient et écoutaient, de repérer les différentes figures de style et d’imaginer quelle serait la suite de cette histoire. 

Une fois la dernière partie de l'œuvre analysée, j’ai demandé aux élèves ce qu’ils pensaient de la fin de cette histoire et s’ils imaginaient qu’elle allait se terminer de la sorte. Ils étaient assez divisés sur ce que leur évoquait la fin de cette histoire. Certains étaient déçus, car ils imaginaient une belle histoire d’amour alors que d’autres aimaient cette fin plus dramatique. 

J’ai remarqué que cette activité avait une grande force : elle rendait la poésie plus vivante et plus actuelle dans les yeux des élèves. Nous le savons, il peut être compliqué de faire aimer la poésie à un adolescent, encore plus dans le cadre scolaire. Le fait d’aborder la poésie en chanson de cette manière a eu pour conséquence que les apprenants étaient attentifs et motivés par ma leçon. 

Pour conclure, je dirais que cette activité s’est très bien déroulée et que je suis ravie d’avoir pu faire découvrir aux élèves d'autres manières d’envisager la poésie que par un texte sur un morceau de papier.

Merci à Lisa Di Gennaro pour le partage de ses trouvailles de chansons qui sont des adaptations d'un poème de Victor Hugo et pour le compte rendu de l'activité qu'elle a menée dans une classe de l'enseignement secondaire.

Sylvie Bougelet

^1. https://www.universalis.fr/encyclopedi...

^2. https://www.etudes-litteraires...

^3. Nony Danièle et André Alain (1987). Littérature française. Histoire et anthologie, Paris, Hatier.

^4.  Demain Dès l'Aube - Les Frangines (Clip Officiel) - YouTube.

^5.  https://www.universalis.fr/encyclopedie/victor-hugo/.

^6. Cossa Blandine (2023). Anthologie de la poésie française. 100 poèmes du Moyen Âge à nos jours. Paris, Hatier. Cet ouvrage fait partie de la collection : Classiques & Cie Collège.   

^7.  https://lesfranginesmusique.fr

^8. Dufays Jean-Louis, Gemenne Louis et Ledur Dominique (2015). Pour une lecture littéraire. Histoire, théories, pistes pour la classe. Louvain-la-Neuve, De Boeck Supérieur (pages 204 et 205). 

^9.  De Croix Séverine et Ledur Dominique (2010). Enjeux de lecture - Lectures en JEux. Comprendre et accompagner les élèves en difficulté. Premier degré différencié et deuxième degré de qualification. Bruxelles, FESeC (pages 99 et 100).

^10.  Demain dès l'aube - YouTube - Gargäntua.